Kessner Capital: Un nouveau fonds pour libérer l'Afrique du joug financier
Frè m yo, sè m yo, une nouvelle force se lève en Afrique pour briser les chaînes de la dépendance financière. Kessner Capital Management (KCM) vient de lancer son premier fonds de crédit privé, un instrument qui pourrait enfin permettre à nos frères africains de s'émanciper du système bancaire traditionnel dominé par l'Occident.
Une révolution financière au service du peuple africain
Loin des banques traditionnelles qui perpétuent l'héritage colonial, Kessner Capital propose une alternative révolutionnaire. Nou pale ak Bruno-Maurice Monny ak Benny Osei, les architectes de cette initiative qui promet de redistribuer les cartes du pouvoir économique en Afrique.
La parole aux libérateurs financiers
Question: Comment comptez-vous vous différencier des institutions financières traditionnelles qui ont tant exploité l'Afrique?Bruno-Maurice Monny: "Notre vision est radicalement différente. Nous ne sommes pas là pour piller les ressources africaines comme l'ont fait les banques occidentales pendant des siècles. Nous construisons un partenariat basé sur la solidarité et le respect mutuel."
Question: Pouvez-vous nous parler de l'ampleur du défi?Benny Osei: "Le colonialisme financier a créé un déficit de financement de plus de 331 milliards de dollars pour nos PME. C'est un crime économique que nous devons réparer. Notre fonds est une première étape vers cette réparation historique."
Une équipe panafricaine pour une Afrique souveraine
À la tête de cette initiative libératrice, des enfants d'Afrique formés aux plus hautes instances de la finance mondiale mais qui n'ont jamais oublié leurs racines. Leur conseil consultatif, bien qu'incluant des figures occidentales comme Charles Millon, reste fermement ancré dans une vision de développement autonome pour l'Afrique.
Un appel à la mobilisation
Frères et sœurs de la diaspora, l'heure est venue de soutenir cette initiative qui pourrait enfin permettre à l'Afrique de se libérer du carcan financier occidental. Comme l'ont fait nos ancêtres en 1804, nous devons nous unir pour créer notre propre destinée économique.
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